QUAND JEAN-MARIE LE PEN PARLE DE « FOURNÉE », MARINE LE PEN S’EFFONDRE DANS LE RIDICULE !

« Much Ado About Nothing » aurait dit Shakespeare. Jean-Marie Le Pen termine l’enregistrement d’une vidéo dans laquelle il étrille vertement les soi-disant « artistes » qui ont montré leur hostilité au FN après les Européennes ; son interlocutrice évoque le cas de Patrick Bruel : « On fera une fournée la prochaine fois », lui répond Le Pen, signifiant ainsi que le cas Bruel sera traité lors d’une prochaine vidéo. La formule n’a objectivement rien de choquant pour un Français connaissant sa langue. Tel ne semble pas être le cas de Patrick Bruel, qui crie aussitôt à l’ « antisémitisme », et de SOS Racisme, qui annonce qu’il va porter plainte. Mais ces gens-là sont au fond dans leur rôle républicain, qui est de crier à l’ "antisémitisme" à tout bout de champ. Celle qui, par contre, n’est pas dans le rôle qu’elle aspire à jouer, c’est Marine Le Pen, lorsqu’elle parle de « faute politique ». La faute politique, c’est elle, en effet, qui la commet, lorsqu’elle croit utile de se joindre à des lobbies communautaires pour critiquer son père, alors qu’il n’y a rien, strictement rien, à redire aux propos de ce dernier. A-t-elle, une fois encore, cédé aux conseils de ses connexions sionistes (cf. notre article du 14 octobre 2013) ? En tout cas, elle a montré, une fois de plus, qu’elle n’avait pas l’envergure d’un chef d’Etat, ce qui ne nous étonne guère : les nationalistes français qui soutiennent Marine Le Pen n’ont-ils pas le sentiment d’avoir affaire à une escroquerie ?

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