OUI, MONSIEUR VALLS, LES FRANÇAIS SONT MARGINALISÉS DANS LEUR PROPRE PAYS !

Le soir du 16 septembre sur i-Télé, lors d’un débat consacré au discours de Valls préalable au vote de la confiance le même jour, les participants à ce débat (MM. Sliman, Rozès, etc. …quelle « diversité » !) et, en particulier, son animateur, le dénommé Galzi (toujours la…diversité !), ont consacré un long développement à ce qui est une évidence depuis des décennies et qui semble avoir été découvert par Valls à l’occasion de son discours : la marginalisation des Français dans leur propre pays.

Cette marginalisation se manifeste tout particulièrement par l’expulsion, tout d’abord progressive, mais désormais massive, des Français du centre de leurs villes et leur regroupement dans des habitats périphériques de plus en plus éloignés, où ils vivent de plus en plus médiocrement, alors que les réseaux communautaires et maçonniques qui dirigent la République réservent toute leur attention -ainsi, bien entendu, que les budgets qui vont avec- aux populations immigrées d’origine extra-européenne, au sein desquelles, note par exemple le géographe Christophe Guilluy, une nouvelle classe moyenne est en train de naître, au détriment de la classe moyenne français qui, quant à elle, s’appauvrit de plus en plus rapidement, de même que s’appauvrit ce qui reste encore de la classe ouvrière française, scandaleusement sacrifiée sur l’autel des profits supplémentaires attendus des délocalisations.

Il semble que Valls soit très inquiet de ce phénomène de marginalisation et de paupérisation des Français, qui, électoralement, profite, paraît-il, au Front national. Et le premier ministre d’affirmer, dans son discours du 16 septembre, que ces Français marginalisés, il ne les oubliait pas et qu’il allait s’occuper d’eux. Mais comment oser tenir des propos aussi plats, alors que l’on est ici en face de l’un des scandales les plus répugnants de l’histoire de la République, qui en compte pourtant des wagons : le scandale d’un peuple volontairement trahi par ceux qui prétendent le diriger !

Ainsi, alors que l’on nous assène, à longueur de journée, de soi-disant « informations » sur la montée de l’antisémitisme, du racisme et de l’homophobie, le seul racisme réel est celui que les Français subissent depuis des décennies dans leur propre pays, un racisme savamment programmé, qui conduit à faire des Français des citoyens de seconde zone en France !

Nous sommes là en face du pire scandale de l’histoire de notre peuple et de notre nation, un scandale qui mérite des réparations radicales qu’il ne faut certes pas attendre des petites excuses de Valls ou des petites minauderies de Marine Le Pen. Non, ces réparations radicales naîtront d’un vaste mouvement de révolte populaire, prenant sa source dans une colère légitime que l’on sent monter chaque jour un peu plus, mouvement de révolte où les militants nationalistes joueront, n’en doutons pas, un rôle central et décisif, en unissant notre peuple autour du seul mot d’ordre qui vaille, celui de La Libre Parole d’Edouard Drumont :

LA FRANCE AUX FRANÇAIS !

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