SPÉCULATION : L’INSUPPORTABLE CAS SOROS

Faisant récemment le point sur sa très intéressante initiative européenne, Gabriele Adinolfi a constaté que nos sociétés étaient désormais divisées en deux catégories : les spéculateurs et les assistés, d’une part, et, d’autre part, les producteurs, qui font vivre les premiers. Et il faut reconnaître que les spéculateurs vivent très bien. Ainsi Georg Soros, issu d’une famille juive installée en Hongrie, et aujourd’hui l’un des plus emblématiques parmi ceux qu’Harold Wilson eût pu surnommer « les gnomes de Wall Street ».

Le 17 février à la mi-journée, sur France Info, un professeur d’économie rappelait comment ce personnage avait bâti sa colossale fortune. Cela peut se résumer ainsi :

En 1992, Soros vend des livres sterling qu’il ne possède pas pour un montant de 10 milliards, dans le cadre d’une « vente à découvert », c’est-à-dire en s’engageant à fournir lesdites livres à une date ultérieure. Par cette vente massive, il provoque une forte baisse de la devise britannique et peut alors acheter à bas prix les 10 milliards de livres qu’il va livrer, à la date convenue, à ses acheteurs. Bien entendu, ceux–ci paient alors les livres au prix initial et Soros empoche une plus-value de l’ordre d’un milliard de dollars.

Et c’est ce champion toutes catégories de la spéculation, de la manipulation et de l’enrichissement sans cause, et c’est cet individu, que l’on est en droit de considérer comme particulièrement révulsant, qui vient aujourd’hui donner des leçons de morale au monde entier et se permet, via ses « fondations » droitdelhommardes, de renverser les gouvernements, ceux d’Europe de l’Est en particulier ? Comment se fait-il que le scandaleux système des ventes à découvert soit autorisé ? Quand sortirons-nous enfin de l’escroquerie capitaliste ? Ils faut en finir avec tous les Soros et leurs malversations :

EUROPE, RÉVEILLE-TOI ! EUROPE, LIBÈRE-TOI !

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