CATASTROPHE DE ROUEN : MERCI À « DISSIDENCE FRANÇAISE » D’AVOIR RÉAGI COMME IL CONVENAIT !

Le jeudi 26 au matin, Europe 1 daignait nous annoncer qu’un incendie de grande ampleur dévastait une usine de Rouen. Et accordait, peu après, le monopole de ses informations à un autre événement, puisque, comme les autres gras médias, elle entrait en « édition spéciale » après avoir appris le décès de Chirac (cf. notre communiqué du 27 septembre). Il se passa donc quelques jours, le temps que durèrent l’ensemble des cérémonies très « nord-coréennes » en mémoire du défunt, avant que les gras médias ne se remettent à donner des informations à propos de Rouen.

Or, la situation là-bas était gravissime : l’usine incendiée, propriété de la société Lubrizol, était classée « Seveso », c’est-à-dire considérée comme un site industriel dangereux, dès lors que se produisait un incident comme l’incendie déclenchée dans la nuit du 25 au 26 septembre. On imaginait que les services de la République avaient, ici comme ailleurs, mis au point un scénario complet de mesures à prendre pour faire face à la situation et que ce scénario se déroulait impeccablement. Or, ce n’était pas du tout ce qui se passait : d’après les informations données, les autorités républicaines donnaient au contraire le sentiment, non pas d’agir, mais de réagir aux événements, non pas de les dominer, mais d’être dominées par eux.

Ce sentiment ne put que s’accentuer lorsque, sur CNews, le 27 septembre à 19 heures 15, on vit la Buzyn livrer un discours lénifiant, hésitant et flou à propos de la catastrophe de Rouen, confirmant cette impression que nous avons depuis longtemps, trop longtemps, d’être dirigés par une bande d’amateurs. Aussi est-ce avec beaucoup de satisfaction que nous avons pris connaissance du communiqué suivant, diffusé dès le 27 septembre par Dissidence française :

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« La population rouennaise est au cœur d’une catastrophe écologique et sanitaire grave. Les rouennais sont démunis et attendent des réponses claires à des questions précises : à quels risques ont-ils été exposés ? Quelles mesures doivent-ils adopter pour protéger leur santé et celles de leurs enfants ? Quels sont les dangers indiqués par les analyses des prélèvements ? Pourquoi cette usine, située au cœur de la métropole de Rouen, classée Seveso et qui avait déjà connu un incident grave en 2013, n’a pas été fermée ou déplacée ? Quelles sont les causes précises de l’accident et qui en sont les responsables ? »

Tout est dit, en quelques mots, par les camarades de DF, très bien implantés à Rouen, où ils se sont largement investis pour apporter leur soutien à nos compatriotes, à qui ils sont allés jusqu’à distribuer des masques de protection fort utiles pour évoluer dans un air totalement pollué. On attend maintenant des réponses des autorités républicaines à l’ensemble des questions posées par Dissidence française, en particulier celles concernant l’origine de l’incendie et ses auteurs. On rappellera à ce sujet que la République n’est toujours pas capable de donner une explication plausible à l’explosion de l’usine AZF de Toulouse, survenue en septembre…2001 ! La République sera-t-elle capable de mieux faire à propos de Rouen ? On nous permettra d’en douter, tant ce régime antinational, dont la seule fonction est de servir une oligarchie cosmopolite qui exploite et trahit la France, a démontré à maintes reprises son incapacité totale, par construction, à incarner un véritable Etat français. Cela ne nous empêchera pas, bien entendu, de ne pas les lâcher, ceux qui prétendent nous gouverner :

NOUS EXIGEONS QUE TOUTE LA LUMIÈRE SOIT FAITE SUR LA CATASTROPHE DE ROUEN, SES CAUSES ET SES RESPONSABLES !

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