CORONAVIRUS COVID-19 : CASAPOUND EXIGE LA DÉMISSION DU GOUVERNEMENT ITALIEN !

L’hôpital (de style typiquement fasciste, semble-t-il) de Codogno, dans le nord de l’Italie, accueille des patients contaminés

Montée en charge courant janvier, l’épidémie due au virus baptisé CoVid-19, initialement apparue en Chine mobilise, de plus en plus l’opinion mondiale. BFMTV, le 22 février à 23 heures, consacrait un long débat à ce sujet. Rappelant que le CoVid-19 avait déjà causé la mort de 2 340 personnes en Chine (ce chiffre, comme les suivants, a évidemment très sensiblement augmenté depuis), la chaîne notait que l’épidémie venait de connaître un soudain développement en Europe, plus précisément dans le Nord de l’Italie, avec deux décès et une quarantaine de personnes contaminées, conduisant les autorités à soumettre environ 50 000 personnes à des mesures de semi-confinement.

Le débat qui suivit ces annonces fut particulièrement surréaliste. On eut droit aux histoires habituelles, résumables comme suit : la grippe due au CoVid-19 est moins dangereuse que la grippe classique et, si le gouvernement italien est obligé de prendre des mesures, c’est simplement pour répondre à l’attente de l’opinion. Devant autant d’assurance, une question vient immédiatement à l’esprit : si la grippe provoquée par le coronavirus est moins dangereuse que la grippe classique, pourquoi les Chinois ont-ils pris des mesures drastiques de confinement ? Sont-ils si stupides ? N’est-ce pas plutôt, par exemple, parce que le virus, qui a déjà muté une fois, peut le faire une seconde et gagner, à ce moment-là, en agressivité ? 

A l'origine, la Buzyn, ci-devant ministre de la Santé avant de déserter scandaleusement pour faire une campagne sous le signe de l’icône « laïque » et obligatoire Simone Veil (cf. notre article du 22) en vue de prendre la mairie de Paris, présentait quasiment la grippe venue de Chine comme une grippette sympa laissant tout le monde en pleine forme. Lors du débat du 22 sur BFMTV, Il semble que l’on était toujours sur la même ligne, dans les gras médias et chez les « spécialistes » de la santé qui y interviennent, ce qui laisse quand même perplexe : la situation est sous contrôle en France, vraiment ?

En ce qui concerne l’Italie, en tout cas, ce n’est certes pas l’avis de nos camarades, comme le montre ce  communiqué du 21 février de Simone Di Stefano, vice-président de CasaPound Italia :

« En 24 heures, nous sommes devenus la nation la plus contaminée d’Europe. Les quarantaines obligatoires et la fermeture des frontières, c’était ce qu’il fallait faire il y a un mois, alors que vous, imbéciles mondialistes, étiez en train de pleurnicher à propos des rouleaux de printemps. Maintenant, il ne vous reste qu’une chose à faire : vous démettre et vous taire ! »

Et en France, répétons-le, tout baigne ? Tout va bien ? L’inepte Buzyn n’avait aucune mesure spéciale à prendre avant de déserter ? Et son remplaçant Véran, qui vient de déclarer, l’imbécile, que « les virus ne s’arrêtent pas aux frontières », pour répondre à Marine Le Pen, suggérant qu’il faudrait peut-être mieux contrôler les entrées par la frontière avec l’Italie, oui, ce Véran, on peut lui faire confiance ? Tout ceci est pour le moins très inquiétant ; mais que ces gens-là prennent garde : les Français ne les rateront pas s’ils ont joué avec la sécurité sanitaire de notre pays !  

ForumSi 

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